Thèse soutenue en 2014 à Lyon 2, sur le thème de l’épuisement professionnel des aides-soignantes en maison de retraite. Épuisement et Femme irai-t-il de pair ?
Diplômée de l’EPP : École de Psychologues Praticiens Institut Catholique de Paris
Avant-gardiste pour l’époque, la notion de charge mentale (au féminin) est aujourd’hui mieux reconnue. Elle est toujours présente dans les discours de mes patients(es) et déposés dans cet espace de parole au sein de mon cabinet, que nous traitons ensemble.
La psychologue est LA spécialiste de l’accueil de la parole du patient(e), dans le respect absolu du secret professionnel, sans
jugement.
Être présente, en toute humilité, accompagner sans diriger.
À votre écoute, je suis une psychologue dans l’échange : Vous parlez, je réagis.
Vous vous questionnez, nous interagissons.
Je vous propose – avec le risque de me tromper – des liens logiques entre votre propos et mon analyse logique.
La(e) psychologue intervient auprès des personnes qui éprouvent de la souffrance voire de la détresse psychique mais aussi de simples difficultés psychologiques, éducatives, affectives de la vie quotidienne.
Les Sujets, HPI, dans leur exigence de perfection, leur affectivité envahissante, leur richesse intellectuelle permanente, leur émotionnel exacerbé, leur intensité existentielle et hyperesthésique, leur énergie et force de travail débordantes, se démarquent, évidemment, de la norme standard habituelle.
La problématique du décalage gaussien entraîne une difficulté d’intégration sociale qui prend souvent la forme de phobie, voire parfois jusqu’à présenter des « Troubles de la personnalité évitante », à ne pas confondre avec un vrai diagnostic d'autisme.
Ce sont l’ensemble de ces questions de fonctionnement très spécifiques que je me propose depuis 25 ans déjà, d’aborder en séance individuelle au sein de mon cabinet.
Nous allons ensemble, pour l’Être surdoué.e unique, que vous êtes, tenter de trouver VOTRE propre chemin de vie, au regard, et en fonction de votre parcours familial, scolaire, professionnel et social qui ont tout naturellement construit et étayé vos modes de fonctionnement de surdouement actuels. Il est parfois des schémas, les chronicités, des « mystères » ou secrets de famille, qui échappent à nos yeux, mais, que le tiers Médiateur/Thérapeute, voit mieux que nous-mêmes. J’ai à cœur de vous apporter un espace de parole dédié à cette thématique qui fait tant couler d’encre.
La litanie des caractéristiques des surdoués peut revêtir une certaine réalité conceptuelle. Pour autant, il ne s'agit pas d'en faire sa propre liste exhaustive et de cocher les cases que le patient pense reconnaître pour lui-même. C'est à devenir « fou ».
La « chair des mots » et , la communication analogique sont pour moi, incompatibles avec la mise à distance que représente la téléconsultation. S’il m’arrive, à titre exceptionnel de faire une consultation/visio, c’est toujours avec des patients(e) déjà reçus(es) « en chair et en os » à mon Cabinet de Montbonnot Saint Martin, donc véritablement « rencontrés ».
Les motifs de consultation sont variables et propres à chaque couple. Quel que soit votre âge, quelle que soit la durée de la relation, dès L’instant, où l’un des deux, est mis à mal voire au point que cela en devienne à ses yeux « insupportable », il est largement temps de consulter.
L’expression « se donner une dernière chance » n’est pas vaine, avant la séparation à proprement dit.
Car quelle que soit l’issue du travail thérapeutique, il vous amènera à grandir, à enrichir vos propres processus de fonctionnements et à vous ouvrir de nouvelles perspectives d’avenir, après avoir fait le « tri », de ses peurs, de ses désirs, de ses pensées, de ses valeurs et de ses aspirations réelles.
Au-delà d’objectifs à définir ensemble, lors de la première séance, voici présentés ici quelques exemples d’objectifs élaborés en séance de thérapie relationnelle :
Alors seulement, après ce travail en profondeur, nous pouvons aller vers la résolution et la recherche de solutions pour :
Le couple, face au thérapeute, est une « unité », tout en prenant en compte chacun des deux conjoints, en tant que sujet propre, acteur de son histoire, de sa manière de penser et d’agir, incluant chacune des familles satellites élargies qui gravitent autour du noyau central qu’est le couple.
Une prouesse technique dont l’équilibre au fur et à mesure du déroulement des séances est subtilement à préserver. Il appartient donc au thérapeute de toujours veiller à établir ou rétablir – en fonction de ce qui est déposé – la notion d’équité de la répartition de la parole au sein des séance ou de l’une à l’autre des séances.
S’engager dans une thérapie de couple, c’est accepter d’entendre ce que notre partenaire n’a parfois jamais osé dire. C’est avancer vers le changement dans un réel souhait de renouveau de la relation. C’est un espace de négociation où le couple peut avancer et reconstruire des fondations renouvelées.
Mais ce peut-être aussi constater les incompatibilités de rythmes, d’organisation, de valeurs, de centres d’intérêt, etc., … au-delà de l’amour encore présent.
L’accompagnement à la séparation est important afin que celle-ci s’organise le plus intelligemment possible. D’autant plus, si un ou des enfants sont issus de cette union. Faire en sorte que le couple parental perdure au-delà du couple conjugal qui lui s’achève.
J’aime partir d’exemples concrets, qui permettent – à travers leurs analyses logiques – de décoder, de mettre en lumière, ce qui se déploie de préjudiciable voire de pernicieux au sein de la relation. Ce qui interroge, après s’être tant aimés, avoir partagé corps et âme, construit et bâtit main dans la main « Comment en sommes-nous arrivés là ? ».
Mon approche, est une approche thérapeutique relationnelle active qui réactive la communication, alors que le temps passe, que tout lasse où il devient primordial de réanimer votre union et réchauffer le degré zéro vers lequel vous vous approchiez.
N’attendez pas qu’il soit trop tard ! Trop souvent, les praticiens constatent que le couple consulte tardivement, une fois la dégradation de la relation ou l’arrivée de la violence.
L’expression « ne pas attendre le dernier moment », ou bien encore, « nous avons attendu qu’il soit trop tard » sont révélatrices de ce temps perdu pour « sauver les meubles ». Il vaut mieux prévenir que guérir, quelle que soit la maladie.
Les tarifs des psychologues sont libres. Ils varient entre 80 et 120 € la séance d’1h00 à 1h30. Pour ma part, je suis à 75 € la séance d’une
heure/Couple
La fréquence des consultations et la durée sont à déterminer ensemble. En tout début d’accompagnement, il est souhaitable de faire une séance tous
les 15 jours d’1 heure voire hebdomadaire le premier mois.
Puis ensuite, de passer à toutes les trois semaines. Dans le cas de crise forte, (par exemple, découverte d’une infidélité ou autre situation de révélation douloureuse) une séance par semaine est fréquente.
Je reçois souvent des demandes (surtout pour les couples venant d’un peu loin géographiquement) d’avoir des séances d’1h30/1fois par mois. Le tarif
horaire, dans ces cas-là s’applique évidemment.
N’hésitez pas à me demander tous les aménagements qui conviennent le mieux à votre organisation personnelle ou familiale ou professionnelle, sachant
que je suis du soir et pas du matin, il m’arrive de recevoir très tard en soirée.
Merci de votre confiance
Chloé PERSOD
En provenance de Grenoble, prendre le Bus TAG N°: 42, Arrêt : Terminus, La Détourbe de Meylan.
En voiture, je vous envoies par SMS toutes les indications pour arriver jusqu'au Cabinet à 5 Km de Grenoble.